Balade à travers les 300 chalets du marché de Noël de Dortmund
Dans l’ombre de l’incontournable Cologne, le marché de Dortmund gagne pourtant à être connu.
Si vous ne deviez en visiter qu’un, nous vous conseillerions de favoriser Cologne (dont les sept marchés de Noël avaient retenu notre attention dans cet article). A condition bien sûr d’avoir le temps nécessaire pour en profiter à 100%.
Si par contre vous êtes de passage dans la Ruhr en plein mois de décembre et que vous avez une après-midi de libre, il serait vraiment dommage de ne pas faire un détour par les 300 chalets de la plus grande ville de la région. Dans notre cas, nous avions choisi de séjourner une nuit dans la ville industrielle (si c’est aussi votre cas, sélectionnez votre logement avec soin car ils sont parfois très chers à cette période) afin de combiner trois spécialités locales: un vendredi soir dans les bars, un samedi après-midi au Marché de Noël et un samedi soir au stade, pour un match de Bundesliga et une expérience qui fera l’objet d’un prochain article.
Contrairement à Cologne, ces 300 chalets ne sont pas répartis en plusieurs marchés de Noël différents. A Dortmund, il s’articulent tous autour des rues commerçantes et envahissent les plus belles places de la ville. Vous ne trouverez pas d’ambiances et de décors très variés mais en les parcourant, vous découvrirez toutefois les plus beaux bâtiments historiques, dont les églises de Reinoldikirche et Marienkirche, merveilles de l’architecture médiévale.
Sans surprise, les wurst (saucisses) sous toutes leurs formes et le glühwein (vin chaud) coulent à flot. Nous y avons découvert avec bonheur le « bounty », un chocolat chaud saveur coco (à la faveur d’un fond de Batida ?), pas présent sur les marchés de Noël que nous fréquentons habituellement. On peut également souligner la variété des plats chauds proposés par certains chalets, que ce soit à base de viande, poisson, fromage ou crêpe.
Quel est votre marché de Noël préféré en Allemagne?
J’adore l atmosphère des marchés de Noël ! Malheureusement dans mon village il n’y a pas grand chose, les premiers «vrais» marchés sont loin…